La Pratique sportive

Le sport au service de la santé et/ou de la performance participe à ce qu’un sportif soit « bien dans son corps et bien dans sa tête ».

Pour y arriver, les pertes en eau doivent toujours être compensées par des apports de qualité, car chaque cellule du corps à besoin d’eau pour fonctionner correctement, notamment pour le transport de nutriments et l’élimination des déchets.

En effet, le corps humain est une merveilleuse machine formée d’environ 60.000 milliards de cellules, dont l’ADN orchestre les 100.000 réactions chimiques, qui ont lieu à chaque seconde dans chacune d’elle.

Pour le Professeur Marc Henry, une cellule fonctionne avec de l’eau, une masse de protéine et toute une série d’ions.

L’eau représente dans ces conditions 70% de la masse d’une cellule.

Si l’on compte les objets, c’est-à-dire le nombre de molécules présente dans une cellule, celle-ci est alors faite à 99% d’eau.

Si cette molécule d’eau est si importante en nombre, c’est que son rôle est crucial

Dans un milieu hydrique aussi important, que celui du corps humain, dans lequel les cellules communiquent entre elles et envoient des informations sur leur état énergétique et sanitaire, les pertes en eau doivent nécessairement être compensées par l’apport quotidien d’une eau de qualité.

Il est donc important de s’inquiéter de la qualité de l’eau de boisson, d’autant que le Programme national de nutrition santé (PNNS) recommande de boire environ 2 litres d’eau par jour, sans faire référence à sa nature.

Mais, il circule au sujet de l’eau des informations très contradictoires, le plus souvent fausses entre  les eaux consommables (eau du robinet, eaux minérales et eaux de source).

Le rapport entre hydratation et santé est faussé au détriment du consommateur et donc du sportif, pour qui l’eau est un apport essentiel en vue d’atteindre ses objectifs et préserver sa santé.

La grande majorité des sportifs ont des préférences et des habitudes personnelles. Ils appréhendent l’eau en termes de potabilité et de minéraux comme la plupart des médecins du sport et des coachs sportifs, alors que tous les indicateurs fondamentaux, comme le taux de résidus à sec, le potentiel hydrogène (pH), la résistivité électrique et le taux vibratoire sont occultés.

Combien de personnes savent que les minéraux des eaux en bouteille s’oxydent, se « cristallisent » et acidifient notre organisme, qui ne les assimile pas car inactifs. Ils ne font que l’encrasser, contribuant au dysfonctionnement cellulaire et à l’apparition notamment du cancer, comme l’a démontré le Prix Nobel WARBURG (1931).

Pour le sportif, qui élimine en permanence l’eau par la transpiration, la respiration et les excrétions et pour qui la réhydratation est fondamentale, les eaux du robinet et en bouteilles ne sont pas biocompatibles car elles sont des eaux « mortes »,  « prêtes-à-boire » mais surtout pas « sur-mesure ».