Dans un milieu hydrique aussi important, que celui du corps humain, dans lequel les cellules communiquent entre elles et envoient des informations sur leur état énergétique et sanitaire, les pertes en eau doivent nécessairement être compensées par l’apport quotidien d’une eau de qualité.
Il est donc important de s’inquiéter de la qualité de l’eau de boisson, d’autant que le Programme national de nutrition santé (PNNS) recommande de boire environ 2 litres d’eau par jour, sans faire référence à sa nature.
Mais, il circule au sujet de l’eau des informations très contradictoires, le plus souvent fausses entre les eaux consommables (eau du robinet, eaux minérales et eaux de source).
Le rapport entre hydratation et santé est faussé au détriment du consommateur et donc du sportif, pour qui l’eau est un apport essentiel en vue d’atteindre ses objectifs et préserver sa santé.
La grande majorité des sportifs ont des préférences et des habitudes personnelles. Ils appréhendent l’eau en termes de potabilité et de minéraux comme la plupart des médecins du sport et des coachs sportifs, alors que tous les indicateurs fondamentaux, comme le taux de résidus à sec, le potentiel hydrogène (pH), la résistivité électrique et le taux vibratoire sont occultés.